ÉRADIQUER LA VIOLENCE QUI AFFECTE 1 FEMME SUR 3 DANS LE MONDE
Sur la base de 12 ans d'expérience dans ce combat, notre stratégie est d'agir avec les partenaires féministes clés à trois niveaux pour parvenir à un réel changement transformateur: soutenir les services centrés sur les survivantes, mettre en œuvre des programmes de prévention avec les générations futures et mobiliser nos réseaux internes et externes pour prendre action pour l'égalité des sexes. Nous recherchons de manière proactive des partenariats à long terme dans les six principaux pays où le Groupe Kering est implanté et travaillons main dans la main avec un échantillon représentatif d'experts locaux, des réseaux de base aux organisations spécialisées en passant par des modèles alternatifs pouvant être mis à l'échelle.
SOUTENIR LES SURVIVANTS VIVRE SANS VIOLENCE
Pour que les femmes aient accès au soutien dont elles ont besoin dans le monde entier, nous nous associons à un échantillon d'organisations locales de première ligne qui fournissent des services vitaux et complets axés sur les besoins, tout en travaillant à la reconstruction de l'autonomie.
MISE EN ŒUVRE DE PROGRAMMES DE PRÉVENTION POUR BRISER LE CYCLE DE LA VIOLENCE
Afin de briser le cycle intergénérationnel de la violence, nous nous concentrons sur la lutte contre ses causes profondes. Avec nos partenaires, nous défions les stéréotypes de genre notamment en engageant les hommes et les garçons, impliquons les jeunes pour changer les comportements et les attitudes et travaillons à l'intersection avec la violence contre les enfants, en particulier l'inceste.
PRENDRE UNE ACTION COLLECTIVE POUR RESTER CONTRE LA VIOLENCE
Comprenant les impacts de la violence domestique, nous travaillons pour créer un lieu de travail sûr et solidaire pour les survivants à Kering et en mobilisant d'autres entreprises. Nous offrons également à nos employés la possibilité de s'impliquer en mettant leurs compétences au service des partenaires de la Fondation.
NOS PROGRAMMES POUR UN CHANGEMENT SIGNIFICATIF
Plus des 2/3 des parents aux États-Unis disent que les garçons ne se sentent pas à l'aise de partager lorsqu'ils ont peur ou se sentent seuls ...
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